Les claqueuses & la mode [Pv Tom][Finit]

Bill était heureux que Tom prenne si bien la nouvelle, il avait eu un instant peur que Tom commence à ce dire que Bill faisait passer son travail avant lui et c’était totalement faux ! Même si Bill allait devoir beaucoup travailler dans les prochains jours afin de devenir libre financièrement il ne voulait pas exclure Tom de tout cela. C’est d’ailleurs pour cela qu’il avait directement proposer à Tom de travailler avec lui. Pour le moment il était mannequin mais Bill avait au fond de lui de bien plus grand projet que ca pour son amoureux. Beaucoup de couple ce séparait notamment parce que l’un des deux avait un travail trop prenant et Bill voulait à tout prix éviter ca, il ne supporterait pas de ne plus voir Tom de la journée et encore moins que Tom le quitte. Il l’aida à mettre tout les sacs dans le coffre puis l’embrassa doucement avant de monter dans la voiture.

- Je t’aime Tom. Je t’aime.

Il l’embrassa encore une fois puis il monta dans sa voiture. Il mit le contact et pour une fois Bill ne roulait pas comme un chauffard. Bien évidement il roulait vite comme à son habitude mais cette fois ci il était calme au volant. Tout simplement parce qu’il n’avait pas spécialement envie de travailler aujourd’hui. Ils arrivèrent dans le quartier des affaires de Paris et le brun ce gara devant une immense tour. Devant le trottoir était en marbre et des centaines de gens n’arrêtaient pas de passer. L’inscription K.MAGASINE était écrite en gros sur le devant. Il sourit doucement à Tom et l’attrapa par la main pour le guider. Normalement il s’interdisait ce genre de démonstration de sentiment en publique mais là il s’en voulait et en plus il avait peur que le blond ce perde dans cette immense foule. Tom pu rapidement remarquer que les gens s’écartaient du chemin du brun dès qu’il passait, quelqu’un descendit même de l’ascenseur en s’excusant pour lui laisser la place. Ici bien plus qu’ailleurs c’était Bill qui décidait. Il était presque Dieu.

Tom avait conscience que Bill aurait beaucoup de travail avec sa nouvelle marque et le magasine de sa mère. C'était en partie pour ça qu'il avait accepter de travailler en tant que mannequin, pour qu'ils puissent passer le plus de temps possible ensemble. Il profita que les vitres de la voiture soient teintés pour embrasser une dernière fois amoureusement son brun. Il en profitait maintenant car après en societé, ils ne pourraient plus le faire.

- Je t'aime aussi, plus que tu ne peux l'imaginer.

Une fois sortis du batiment, Bill le prit par la main et Tom enlaca leurs doigts et lui rendit son sourire puis il remit son masque de dureté. Entrés dans le batiment, ils se firent tout de suite remarqué, surtout car le fils de la patronne était dans la place mais ce qui semblait le plus les choquer c'est qu'il était main dans la main avec un parfait inconnu. Tom ne se géna pas pour les regarder méchamment même s'il savait que ça ne servirait à rien car il jacasserait quand même sur eux une fois qu'ils seraient hors de vue. dans l'ascenseur Tom ne put s'empêcher de remarquer à Bill que les gens semblaient marcher à la baguette ce qui le faisait bien rire.

Bill profita que les gens s’écartaient de son chemin pour retrouver un peu d’intimité avec le blond. Il le plaquât contre la paroi métallique et l’embrassa passionnément. Il avait besoin d’avoir un peu de sa présence avant d’aller diriger tout son petit monde. L’ascenseur arrive au bon étage et ils se séparèrent. Le couloir était désert et chacun était à son poste entrain de travailler ou de ranger, Bill remarqua que au vu du bordel qui trainait les gens avait du ce relâcher durant son absence. Il traversa le couloire sans aucun soucis tout ayant été nettoyé surement dans les minutes précédente. Son assistante arriva et le débarrassa de son sac à main. Bill la regardait durement attendant son rapport.

- Il ya eu une erreur de dossier et du coup la page Valentino est sur la maquette à la place des pages Kalvin Klein. J’ai appelé le fournisseur pour qu’il nous envois la bonne couleur de tissus mais il a dit que ca ne serait pas possible avant au moins une semaine. L’erreur de dossier à été corrigé dès votre appel. Heidi attends dans la salle d’attente. Et comme vous me l’avez demandez la maquette est sur votre bureau et pour l’erreur de formulaire je suis vraiment désolé tout est de ma faute mais j’ai fait du mieux que j’ai pu je vous assure.

Bill la coupa brutalement quand ils arrivèrent au bureau et il remarqua deux cafés sur son bureau il fronça les sourcils.

- Petit un je me fou de savoir pourquoi vous êtes si incompétente, à la prochaine erreur de votre part par contre vous prenez la porte, un million de fille vous tuerais pour cet emplois alors ne gâcher pas vos chances. Je n’aie pas de temps à perdre pour ca. Dites à Heidi que je vais la recevoir quand j’aurais réparé toutes vos erreurs. Je veux le courrier de la semaine sur mon bureau dans dix minutes. Et vous rappelez le fournisseur lui disant que si je n’aie pas tout ce que j’ai demandé demain j’annule la commande. De plus vous avez deux minutes pour aller chez Starbuck’s j’avais demandé un café et un chocolat et la je vois deux café. Tom ne va pas changer ses habitudes parce que vous avez fait une fois de plus une erreur. Et débrouillez vous pour trouver un fauteuil pour Tom. Si tout ca n’est pas fait dans les vingt prochaines minutes je vous assure que vous prenez la porte. Et autre chose… Faites une recherche afin de trouver quelqu’un de compétent pour vous secondez.

Bill rentra dans son vaste bureau suivit de Tom. Il jeta l’un des cafés dans la poubelle et attrapa le sien de buvant tranquillement. La maquette sur ses genoux il était bien assis dans son fauteuil en cuir.

- Ne t’en fait pas Tomi, ton chocolat et ton siège vont arriver. Tu peu t’assoir sur le bureau en attendant si tu veux.

Il lui sourit doucement. Si Bill était dur avec les autres, avec Tom il était toujours adorable.

Dans l'ascenseur, Tom se fit plaquer contre la paroi metallique et avant qu'il ne puisse répliquer, sa bouche se fit positivement violer par le brun. Le blond passa ses mains dans les dreads de son amour, les tenant fortement. Il profitait du faible temps que l'ascenseur lui offrait pour faire passer tout son amour dans le baiser, il savait qu'il n'en aurait pas d'autres avant longtemps. Une fois sorti de l'ascenseur, Tom suivit Bill les mains dans les poches et soutenant les regards de tout ses employés. Il les regardait d'un air qui voulait dire "Continuez à me regarder comme ça et vous allez voir" ce qui semblait marcher vu qu'ils détournaient le regard. Le blond voyait son homme dans son élement et mieux ne valait pas être contre lui car il faisait vraiment peur à voir. Il attendit que la secretaire s'en aille et laissa tomber son masque en se rapprochant de Bill.

- Le bureau est tout dur tu veux pas me laisser venir sur tes genoux ?

Tom n'était pas sur que Bill accepte vu qu'ils étaient sur son lieu de travail mais pour faire pencher la balance il fit sa bouille toute mignonne à laquelle personne ne pouvait lui refuser.

Bill regardait les dégâts qui avaient été opéré sur la pauvre maquette de son magasine qui la veille était pourtant presque parfaite il soupira bruyamment. Il n’y avait-il donc personne de compétent dans cette entreprise ? Il reposa son café sur le bureau et souleva la maquette de ses genoux souriant devant l’attitude de Tom.

- Bien sur que tu peux venir tu n’es même pas obliger de me faire ta petite bouille d’ange.

Il réceptionna donc son amoureux sur ses genoux puis il lui vola un petit bisous avant de poser la maquette sur les genoux de son amoureux. Il voulait faire partager à Tom son métier. Il ouvrit donc le livre/classeur plein de post-it et de note qu’il avait soigneusement rédigées puis il entreprit d’expliquer à Tom.

- Tu vois ce gros bouquin de cent pages c’est tout ce qui pourrait potentiellement être dans le prochain numéro. Je choisis tout que ca soit les pubs, les articles, les photos, les couleurs, la police, même la taille du numéro des pages sont choisit par mes soins. Je laisse l’équipe me soumettre leur idée puis il tente d’organiser un peu le magasine. Ensuite on a une réunion toutes les semaines et ils me montrent ce qu’il on fait. Par la suite je récupère ma précieuse maquette et je mets mes notes et j’arrache aussi ce que je ne veux absolument pas dedans. Au final à chaque fin de mois de ses cents pages environs une quarantaine vont paraitre. Même si ca parait pas ce bouquin est important il contient aussi pas mal de choses qui ne seront pas dans le commerce avant la saison prochaine.

Il sourit tendrement. Il n’était pas sur que tout cela intéresse vraiment Tom, mais il voulait vraiment lui faire partager son petit monde du travail. Et aussi quelque part il expliquait à Tom l’importance des choses et donc la raison pour laquelle il était si dur avec ses employés. Pas mal de choses qui ce disaient dans cet immeuble ne devraient être connu du publique que dans six mois voir un an.

Tom sourit à son brun puis s'installa sur ses genoux, réceptionnant en même temps un petit bisou. Il posa sa tête sur l'épaule de son amoureux, écoutant religieusement ses explications sur son magasine. Ca l'intéressait de voir Bill aussi passionné par quelque chose.

- Ca à l'air intéressant tout ça. J'ai hâte de voir ce que ça va donner une fois sorti mais pour l'instant la petite bouille d'ange elle voudrait bien un bisou.

Tom fit un tendre sourire avant de poser ses lèvres sur les siennes, l'embrassant d'abord chastement puis il passa la barrière de ses lèvres pour que leur langues jouent ensemble. Ils furent interrompus par l'assistante de Bill qui entra après avoir toqué mais sans avoir attendu l'autorisation de celui ci. Tom se sépara de son homme et regarda mèchamment la secretaire qui les avait coupés dans un de leur moment tendresse. Il ne dit cependant rien car Bill se chargerait très bien d'elle.

Bill était vraiment heureux que Tom trouve intéressant la conception du magasine, il voulait vraiment l’inclure dans son monde. Il le récompensa en quelque sorte de cet intérêt lui offrant un tendre baiser, qui devint bien vite plus passionné que tendre mais qui fut interrompu par l’assistante qui semblait mal à l’aise. Bill fronça les sourcils et elle baissa la tête.

- Faites comme chez vous surtout ne vous privez pas de venir me déranger comme bon vous semble !

Elle baissa de nouveau la tête fixant ses chaussures qui lui semblait tout un coup très intéressant. Bill soupire et enleva Tom de ses genoux après avoir posé la maquette sur le bureau. Il se leva et alla se positionner devant elle lui relevant la tête en l’attrapant par le menton.

- Ici c’est moi qui donne les ordres et je crois que ses derniers temps vous avez tendance à un peu trop l’oublier. Cette place est convoitée par au moins un million de filles vous n’êtes absolument pas indispensable. Vous avec donc une demi heure pour prendre vos affaires et partir. Mais d’abord ou est le chocolat que j’ai réclamé ? Et je veux tout les CV des postulantes au poste d’assistante sur mon bureau.

- Oui… Tout de suite monsieur Keller.

Bill soupira sentant qu’elle aller chouiner et il la laissa partir. Elle revint cinq minutes après avec le chocolat et deux hommes apportèrent un grand fauteuil en cuire pour Tom. Elle repartir et lui apporta les CV et le courrier qu’il avait demandé. Elle lui posa aussi le numéro du fournisseur, il devrait l’appeler lui-même. Bill la congédia n’ayant aucune peine de l’avoir renvoyée puis il s’affala dans son fauteuil regardant la pile de CV, il allait lui falloir la journée pour tout lire et en plus faire son travail.

- Je crois que tu devrais rentrer à la maison j’en aie pour au moins jusqu'à minuit.

Tom s'énerva un peu contre l'assistante quand il dut se lever des genoux de son brun. Son regard se fit plus dur mais il ne dit toujours rien car après tout il n'avait pas de pouvoirs sur elle et de toute manière Bill s'en occupait très bien. En temps normal il l'aurait défendu mais la c'était tout simplement justifié même si la sanction était un peu dur. Tom positionna son fauteuil en face de Bill, le bureau les séparant et but une gorgée de son chocolat chaud. Il posa ensuite sa main sur celle de son homme la caressant à l'aide de son pouce.

- Je peux t'aider si tu veux comme ça ça ira plus vite.

Tom lui sourit tendrement, de toute manière que ferait-il chez Bill à part attendre ? Autant rester avec lui même s'il ne pouvait pas l'aider.

Bill sourit, Tom était vraiment un amour de lui proposer son aide, d’autant plus que c’était un travail non rémunéré. Il caressa doucement sa main et lui donna l’énorme pile de CV.

- Je compte sur toi pour me trouver des assistantes digne de ce nom. Je te fais confiance pour choisir. Celles qui font plus que du 34/36 tu peu par contre les rayer de la liste directement. Et puis celle qui sont plutôt moche évite aussi, c’est quand même un magasine de mode j’ai besoin de travailler avec des gens pour qui la mode et l’esthétisme compte.

Il lui sourit tendrement. Il était certain que Tom ferait du bon travail, il lui donnait juste de recommandations afin de le guider mais il était sur que son amoureux ferait un excellent travail. Il le laissa commencer le tri attrapant le courrier de la journée et le déballant. Il rajouta donc deux CV fraichement arrivé dans la pile puis il archiva deux ou trois papiers et en laissa trainer un peu sur son bureau. Il chopa ensuite le numéro du fournisseur, bien décidé à ce qu’il livre en temps et en heure ce que Bill avait demandé. Il savait que Tom allait entendre la conversation et il s’en moquait. Après tout il n’avait rien à cacher à celui qu’il aimait.

- Bonjour, oui c’est Bill Keller c’est juste pour avoir la confirmation que le marron 512 arriverais demain matin pour huit heures. Et aussi pour vous rappelez de ne pas oublier le marron 515 dont je n’aie absolument pas besoin. - Ecoutez-moi attentivement. Je vous ait passé une commande pour un tissus que vous m’avez envoyez dans la mauvaise couleur et je vous aie donné déjà quarante huit heure pour réparé votre erreur, si je n’aie pas tout demain je vous assure que tout ce que vous m’avez envoyé finira à la poubelle et ne compter pas sur moi pour vous payez pour des tissus que je n’aurais pas reçu. - Bien demain dix heures je peu encore le toléré. Au revoir.

Bill raccrocha en souriant, ce n’était pas si dure de ce faire livrer en temps et en heure quand on était Bill Keller. Il se rassit attrapant sa maquette, afin de remettre en ordre tout le foutoir.

- Tu t’en sors Tomi ?

Tom rit puis fit un salut militaire.

- Oui chef.

Tom s'installa confortablement dans son fauteuil et but une gorgée de son chocolat avant d'entamer la lecture de tout ces CV. Il feuilleta une première fois l'énorme pile de CV que Bll lui avait donné. Il y avait au moins la moitié qu'on pouvait jetter car ils ne correspondaient pas aux critères de selections. Il les jetta donc dans la poubelle sans les regarder et se mit à lire les autres. Il était tellement prit dans sa lecture qu'il ne remarqua même pas qu'il avait terminé son chocolat, ce n'est que quand il essaya de boire qu'il se rendit compte qu'il n'y en avait plus, il posa donc le gobelet et se replongea dans sa lecture. Au fnal il en choisit cinq qu'il pensait qu'il pourrait convenir.

- Oui j'ai terminé, je t'en ai choisis cinq fais ton choix.

Bill attrapa les CV que Tom avait choisit les regardant avec application, son amoureux avait fait de très bon choix. Il se leva passant de l’autre côté du bureau et embrassa tendrement son bien aimé, il était tellement génial, il se demandait comment il avait fait pour que quelqu’un d’aussi précieux que lui décide de l’aimer. Bill avait vraiment beaucoup de chance. Il donna le téléphone à Tom en souriant.

- Je te laisse les appeler tu leur dit qu’elle on une heure pour arriver au bureau. Tu peu dire que tu appelle de ma part ou tu restes avec ton nom, je m’en fiche du moment qu’elles viennent. Moi je vais chercher Heidi et je reviens.

Il embrassa Tom une nouvelle fois et sortie du vaste bureau. Il avait dit à Tom qui n’était pas obliger d’appeler de la part de monsieur Keller tout simplement car il n’avait pas honte que les gens sachent qui était Tom et puis de toute façon les nouvelles assistantes devraient subir Tom dans leur vie de tous les jours. Il traversa le grand couloir et retrouva Heidi. Ils se firent la bise puis ils arrivèrent dans le bureau. Tom venait juste de raccrocher le téléphone. Ca c’était du travail bien fait !

- Tom je voudrais te présenter Heidi. Enfin je pense que tu la connais plutôt sous son nom complet Heidi Klum, la mannequin.

Il sourit à Tom le laissant faire connaissance avec la grande blonde qui avec ses talons faisait presque la même taille de le dreadé.

Tom sut qu'il avait bien choisit quand son homme se leva et vint vers lui pour l'embrasser. Il était fier de lui s'il avait réussit à faire plaisir au brun. Il attrapa le télephone, hochant la tête puis Bill sortit du bureau après un dernier bisou. Tom composa le numéro du premier CV et porta l'appareil à son oreille. On décrocha à la première sonnerie.

- Bonjour mademoiselle, Tom Conwel de la societé K.Magasine. Je vous appelle car vous avez déposé un CV il n'y a pas longtemps et nous aimerins vous voir dans une heure pour un entretien. Nous n'accepterons pas que vous soyez en retard. Bien aurevoir.

Il répeta son discours pour les quatres autres prétendantes et juste au moment ou il raccrocha, Bill fit son entrée dans le bureau avec... Heidi Klum. Si Tom n'était pas déjà pris, il l'aurait très certainement dragué. Au lieu de ça il prit la main de la jeune femme et y déposa un baiser comme le faisait les gentlemans à une époque.

- Tom Conwel enchanté.

Bill rit doucement à l’attitude de Tom, il était certain qu’Heidi serait sous le charme dans les prochaines minutes et la réaction de la jeune femme ne se fit pas attendre. Elle lui sourit tendrement le détaillant de haut en bas et retira sa veste le laissant admirer son sublime décolleté. Bill leva les yeux au ciel.

- Heidi… Il est déjà prit tu peux oublier ca tout de suite.

La jeune femme regarda Bill et baissa les yeux comprenant qu’elle venait de commettre une très grosse erreur. Ce qui était à Bill restait à Bill.

- Oh. Je suis désolé Bill, je… Je le saurais pour la prochaine fois.

Elle lui sourit comme elle pu et Bill attrapa un immense agenda donc un milliard de papier dépassait. Il s’assit à son bureau et le feuilleta rapidement avant d’attraper un stylo Bic Dior qui avait du lui couter pas moins de cinquante euros.

- Bon alors je t’explique, j’ai appelé ton agent déjà deux fois pour annuler la séance photo mais ca n’a pas été fait. Ce mois ci c’est Jenny, Tom & moi qui faisons la couverture donc il faudra reporter. J’ai déjà pris rendez vous avec Gisèle Bündchen pour le moi prochain puisque elle lance ca nouvelle collection de lingerie. Cependant je peu, peu être voir pour que tu sois sur le mois de novembre. Je sais que ca ne t’arrange pas mais le premier novembre c’est les EMA à Berlin tu auras donc l’occasion de te faire montrer, de faire sensation et donc que ton actualité soit au beau fixe pour la sortie du magasine. Autrement je peu te proposer une page dans le numéro en court mais ca sera quelque chose de simple puisqu’il est déjà presque bouclé donc on pourrait faire un test avec les nouvelles Minnelli et la robe Valentino rouge puisque on a un dossier sur ca. Avec le bon maquille et… un petit tour chez le coiffeur ca devrait aller. Par contre… Tu as pris du poids tu devrais faire attention.

Le brun finit son monologue et Heidi hocha simplement la tête convaincue. Après tout Bill lui faisait déjà l’honneur de la recevoir elle n’allait pas en plus refuser une page dans le magasine.

- C’est parfait je vais directement voir les maquilleuses et habilleuses je ne t’embête pas plus longtemps. Et j’accepte aussi pour novembre ton idée est génial. Et je vais prendre rendez vous dans une salle de sport ne t’en fait pas je serais parfaite.

Bill sourit, il avait encore une fois de plus imposé dans problème ce qu’il voulait.

Tom sourit de l'attitutde de Bill, pas vexé qu'il ait parlé à sa place. Ca le faisait plutôt rire que Bill soit jaloux alors qu'il ne s'était rien passé. Il avait à peine jetté un coup d'oeil dans le decolleté de la jeune femme et puis comme disait son père "Ce n'est pas parcequ'on est en couple qu'on ne peut pas apprécier les bonnes choses". En bon gentleman, il laissa son fauteuil à la jeune femme et s'adossa au mur, attendant que l'entretien se termine. Bill ne se génait pas pour être cassante avec la mannequin et le pire c'est qu'elle se laissait faire et disait encore amen. Tom lui fit un dernier sourire et la jeune femme sortit de la pièce.

- Eh ben. Le moins que l'on puisse dire c'est que tu l'as mené à la baguette.

Ce n'était pas une remaque négative, juste une constatation.

Bill lui sourit tendrement, il devait avouer que malgré tout il n’avait pas apprécié que Tom ce permette de regarder dans son décolleter et de ce comporter en vrai gentleman avec elle, il ne la connaissait pas et elle avait le droit aux bonnes manières lui n’avait pas le droit à ce genre de chose. Il ce leva et remit l’agenda dans son tiroir.

- J’ai juste été honnête avec elle, si elle ne perd pas au moins deux kilos il est hors de question que je la mette en couverture et ici c’est moi qui donne les ordres c’est normal qu’elle m’obéisse. Si elle n’est pas contente elle s’en va et puis c’est tout, je n’aurais aucun mal à la remplacer. Et Tom… Evite de mettre ton nez dans le décolleter de toutes les femmes que tu vas croiser ici, je comprends que tu rêves d’un 1,70/34/90B et que ca te démange d’aller observer sa de plus près quand tu le vois mais fait ca quand je ne suis pas là.

Bill respira un bon coup il repartait au quart de tour et savait qu’il devait ce calmer mais c’était plus fort que lui. Il sortit du bureau et ce dirigea dans une immense pièce qui devait faire au moins trois fois la taille de l’appartement de Tom et qui regroupait tout les vêtements des collections passé, des échantillons jamais sortit et tout un tas d’autre trucs dont le brun avait besoin pour les shootings. Il ce dirigea d’un pas décidé vers l’une des personnes qui tenait le livre de bord avant de dire ce dont il avait besoin en détail.

- Minnelli noires vernies 39.5, deux grosses fleures identiques que je pourrais clipper dessus, la Valentino rouge taille 1.5/2, du Victoria secret noir 90B/36, une pochette Louis Vuitton un truc banal je m’en fou et trouver moi un accessoire qui pourrais faire en sorte de la faire paraitre moins bouffie.

- Très bien monsieur Keller tout sera près au studio photo dans dix minutes, nous allons nous organiser pour que Heidi soit prêtes à temps.

- Parfait, vous commencerez la séance sans moi je dois recruter deux nouvelles assistantes et je ne sais pas pour combien de temps j’en aie. J’apprécie le fait que vous preniez les initiatives de tout préparer à l’avance pour moi. Croyez moi je m’en souviendrais lors de votre prime de noël.

Bill lui fit un petit sourire ce qui était en soit un exploit avant de le laisser aller travailler.

Tom était un peu choqué de l'attitude de Bill après tout ce n'était pas comme s'il l'avait trompé. Il reconnut que comme Bill était jaloux c'était normal qu'il eut cette réaction. Si Bill avait zyeuté un homme trop longtemps il aurait surement eu la même réaction. Bill sortit du bureau l'air légérement énervé. Soupirant, le blond décida de l'attendre la ou il l'était pour s'excuser. Mieux valait lui laisser le temps de se calmer car un Bill enervé n'écoutait rien de ce qu'on lui disait. Tom dut attendre une dizaine de minutes supplémentaires avant que le brun en revienne, de l'endroit ou il était l'androgyne ne pouvait pas le voir. Le blond se glissa silencieusement derrière lui, passant ses bras autour de sa taille pour se coller contre son dos.

- Je suis désolé si je t'ai blessé. Cette fille ne répresente rien pour moi, c'est toi que j'aime.

Bill avait mis un peu de temps à revenir puisqu’il était descendu au premier étage histoire de ce prendre un truc à manger. Généreux il avait pris quelque muffins et donuts pensant à son amoureux qu’il aimait même si il avait été déçu. Il ouvrit la poste en soupira et chercha Tom du regard sans le trouver, le brun paniqua un moment de peur que le blond soit partit et il posa en vitesse son plateau sur le bureau avant de sentir deux bras légèrement musclés l’enlacer tendrement. Bill soupira de bonheur et de soulagement de savoir qu’il n’était pas partie. Il le laissa s’excuser avant de ce retourné et de lui faire face sans pour autant quitter ses bras. Il l’embrassa doucement.

- Je sais Tom, je sais bien tout ca. Seulement ici du matin au soir ne passe que des mannequins parfaites de la tête aux pieds tu vois. Et même si j’ai confiance en ton amour j’ai parfois peur quand même que ca ne te suffise pas, je me sens malgré tout en concurrence avec ses blondasses, parce que elles ont des atouts pour te plaire que je n’aie pas.

Il n’était pas sur que Tom comprenne ce qu’il voulait dire. Le grand Bill Keller avait peur, en vérité il était carrément effrayé. Effrayé à l’idée de perdre la seule chose qui comptait vraiment pour lui et encore plus de la perdre par sa faute parce qu’il n’aurait pas été à la hauteur.

- Tu comprendras, quand je devrais passer l’après-midi pour la séance photo des sous-vêtements Hugo Boss tu comprendras ce que je ressens Tomi.

Tom sentit dans le regard de Bill qu'il était plus touché qu'il voulait bien le faire croire ce qui lui fit un pincement au coeur. Il serra Bill le plus fort possible qu'il pouvait dans ses bras, voulant le réconforter.

- Elles ont peut être des atouts que tu n'as pas mais toi tu as quelque chose que toutes ces filles silliconées n'auront jamais et tu sais ce que c'est ?

Bill hocha négativement la tête et Tom se détacha un peu de lui pour le regarder dans les yeux.

- C'est mon coeur, je te l'ai donné la première fois que je t'ai avoué mes sentiments tu te souviens ?

Il attendit que Bill réponde puis soupira, cette séance photo ne s'annoncait pas de tout repos. Il savait déjà ce qu'il ressentirait vu qu'il avait déjà éprouvé cette sensation le soir du cinéma face à Alexis mais pour le moment il n'était encore que tout les deux et comptait bien en profiter. Il laissa Bill s'asseoir sur son fauteuil puis prit sa place tout naturellement sur ses genoux sans oublier les donuts. Il en donna un à Bill et en prit un pour lui qu'il mordi joyeusement.

Bill était vraiment émut que Tom lui annonce que son cœur lui appartenait, il lui sourit amoureusement restant un long moment dans ses bras pour se faire câliner, il n’y avait pas de meilleurs moments que ceux là. Dans ses moments là il était apaisé et heureux, rien ne pouvait le rendre de mauvaise humeur. Il retourna s’assoir dans son grand fauteuil accueillant son amant sur ses genoux. Tom lui tendit à Donuts et Bill rit, c’était sur qu’avec autant de calorie Tom avait intérêt de l’aimer pour ce qu’il était car il ne pourrait jamais avoir le poids mannequin. Il posa doucement un baiser sur les lèvres du blond avant de le regarder. Il avait une petite confession à lui faire.

- Tu n’es pas obligé de venir à la séance photo Tom. Je ne suis pas sur que tu ais envie de voir Alexis.

Le brun lui fit un sourire désolé. Alexis était mannequin dans sa boite depuis déjà plus de un an seulement, il ne voulait pas imposer à Tom de le voir défilé en caleçon pendant plus d’une heure.

Tom allait entamer son deuxième donuts quand Bill lui annonca qu'Alexis serait la ce qui lui gacha un peu son plaisir d'être avec son brun. Il posa son donuts puis soupira. Il était tiraillé entre les deux options qui s'offraient à lui, il ne voulait pas revoir Alexis mais en même temps Bill ne l'avait pas revu depuis qu'ils s'étaient remis ensemble et cela l'inquiètait au plus haut point. Pas qu'il n'avait pas confiance en son homme mais il avait vraiment peur à cet instant. Alexis était riche et il pourrait entretenir Bill le reste de sa vie, il connaissait son monde et ne lui interdirait rien. Il ne savait vraiment pas quoi répondre.

- Je... je sais pas.

Bill sentit que Tom était vraiment triste, il aurait aimé pouvoir lui dire qu’il allait annuler mais il ne pouvait pas faire ca. Il posa sa main sur la joue du dreadé le consolant doucement, il s’en voulait vraiment, il avait carrément réussit à lui couper l’appétit. Bill sentait que Tom allait directement ce sentir en concurrence avec Alexis et qu’il n’aurait pas d’arme, Bill se sentit obliger de donner du pouvoir à Tom, il avait réellement envie que le blond montre à Alexis qu’il pouvait très bien lui aussi être doué pour ce genre de choses.

- Je ne veux vraiment pas t’imposer de venir Tomi mais ca me ferait énormément plaisir. Je ne peu pas faire grand-chose pour diminuer ce que tu ressens, je peu juste essayer de te mettre au même niveau que les autres. Si tu veux tu peu défiler pour moi, tu devrais défiler en alternance avec Alexis, mais je suis sur que tu seras magnifique, tout le monde n’aura d’yeux que pour toi.

Bill sourit, ce n’était pas grand-chose mais le brun n’avait pas énormément de choix pour que Tom puisse concurrencer son dealer et puis l’idée de voir Tom ce balader en caleçon sous ses yeux le rendait déjà dingue, il savait qu’il ne résisterait pas à voir le corps de Tom ainsi exhibé.

- Bien sur ca sera un travail payé ne t’en fait pas.

Le brun le regarda tendrement, il n'était pas sur que cela marche mais au moins il aurait essayé de les mettre sur un pied d'égalité.

Tom posa sa tête sur l'épaule de Bill, se laissant réconforter. Il s'accord un instant de faiblesse en montrant à Bill que cette histoire le touchait puis il se redressa. Il allait montrer à cet Alexis qui voulait lui piquer son Bill qu'on ne se frottait pas à Tom Conwel impunément. Le blond se retourna vers son amour, se mettant à cheval sur lui.

- Il va voir qui je suis ce connard.

D'humeur un peu plus taquine Tom avança son visage vers celui de son brun, soufflant doucement sur ses lèvres.

- Et toi tu regarderas qui ?

Bill sourit, Tom avait récupéré de sa bonne humeur et il avait carrément l’air près au combat. Le brun préférait largement le voir comme ca que déprimé à l’idée que Bill doive aller travailler. Il savait que même si tom n’avait aucune expérience il avait toutes les chances de réussir mieux que le blond platine. Tout simplement parce que le jugement de Bill était loin d’être objectif mais que c’était toujours lui qui décidait peu importe qu’il ait raison ou tord.

- Je te regarderais toi, je suis dingue de ton corps Tom. Je ne vais pas me priver de l’admirer une fois encore d’autant plus que ce genre de caleçon est plutôt serré, ca va me laisser tout le loisir de fantasmer sur toi…

Il se mordit la lèvre il n’était pas sur de tenir toute l’heure à le regarder défiler sans le toucher. Il cella doucement leur lèvres et l’embrassa avec amour quand on frappa à la porte. Bill garda Tom sur ses genoux puis il donna l’autorisation d’entrer. Une jeune femme brune ce tenait dans l’entrée.

- Excuser moi monsieur Keller mais cinq filles attendent en bas et prétendent venir vous voir de la part d’un certain Tom Conwel que dois-je faire.

Bill rigola, les gens allaient avoir du mal à s’habituer au fait que les ordres de Tom valent autant que ceux du bel androgyne. Il désigna son amant du regard faisant comprendre à la réceptionniste que ce que Tom disait devait être fait.

- Tom est mon petit ami, vous avez donc tout intérêt à laisser monter ses jeunes filles si il l’a demandé. Et Erika ? Même si ca ne fait pas partie de votre travail en attendant que j’ai une assistante j’aimerais que vous alliez au Starbucks me chercher un nouveau cappuccino caramel et un chocolat pour Tom, afin d’accompagner les Donuts.

La jeune femme partie et Bill posa doucement sa tête sur l'épaule de Tom, si il passait toutes ses journées comme ca à donner des ordres avec Tom sur ses genoux il voulait venir travailler tout les jours.

Tom mordit sensuellement la lèvre inférieure de son brun sans l'embrasser, souriant toujours aussi coquinement. Il avait hâte d'y être maintenant pour pouvoir chauffer à loisir son brun. Le baiser terminé, il allait répondre quand une jeune femme brune les interrompit dans leur moment. Celle la au moins eut la politesse d'attendre que Bill l'autorise pour rentrer. Elle devait avoir eu vent de l'affaire de son assistante, ce qui était pratiquement sur vu comment elle regardait Tom. Il se réjouissait déjà du nouveau pouvoir qu'il avait et cela se voyait sur son visage même si ce n'était pas du tout du goût de la jeune femme mais il s'en fichait royalement. Une fois celle ci sorti, il se mit à caresser les petites dreadlocks de son amour, lui donnant du courage pour les entretiens à venir.

- Allez mon coeur, je suis avec toi et plus vite tu auras fini et plus vite on aura du temps pour nous avant la séance photo.

Tom embrassa chastement son brun puis se leva de sur lui quand il entendit des coups à la porte. Ce devait être les entretiens et ce n'était pas très professionnel d'avoir des entrevues avec une personne sur ses genoux.

Bill n’était pas vraiment motivé, bien évidement il avait confiance dans les choix que Tom avait opérés mais il ne voulait pas bouger. Il se sépara pourtant de son amoureux mais l’obligea à mettre son siège à ses côtés afin de pouvoir le laisser en quelque sorte hors de porter des jeunes femmes qui allait venir. Le brun autorisa la première d’entre elle à entrer. Environ 1.70m vu qu’elle portait des talons, rousse avec des cheveux longs, un petit 34, pas de forme vraiment généreuse, un visage maquillé avec soin, des Louboutin et un tailleur Yves saint Laurent… Le brun sourit, la jeune femme avait vraiment beaucoup de classe et il aimait cette qualité.

- Bien tu te présente rapidement et tu me dis pourquoi tu veux une place ici en plus du blablabla habituel. Tu as disons… cinq minutes.

Bill attrapa son muffin et commença à manger écoutant la jeune femme qui semblait vraiment intimidé.

- Je m’appelle Emilie, j’ai 22 ans, j’apprécie la mode depuis que je suis toute petite. Je suis vraiment fan du magasine et des vêtements que vous créer. Vous avez un style remarquable et j’aimerais beaucoup travailler pour vous car je sais que ca peu être un tremplin fabuleux et je suis certaine que travailler à vos côtés m’apprendra énormément de choses. Les responsabilités ne me fond pas peur et je veux bien travailler autant d’heure que vous avez besoin.

Bill eu un petit sourire en coin. La demoiselle osait à peine le regarder dans les yeux et elle lui léchait les bottes à la perfection. Il l’avait clairement vu rougir quand il l’avait détaillé et cela prouvait en partie qu’elle ferait n’importe quoi pour lui plaire, de plus elle n’était pas si bien foutu que ca et vu que Tom risquait de passer souvent au bureau c’était un atout non négligeable. Le brun attrapa son CV dans la pile et le feuilleta rapidement, elle n’avait pas beaucoup de référence mais elle semblait motivé.

- Et bien mademoiselle Karlson ca m’a l’air parfait tout ca. On va donc revoir quelques éléments de base. Tu dois toujours venir bien habillé, je me fiche tu portes un tailleur ou un débardeur jupe ma seule exigences c’est que tu évites les sous marques, il y a un milliard de belle boutique sur les champs, si tu n’as pas de quoi t’habiller c’est le moment d’aller y faire un tour. Tes horaires sont 8h-20h mais ce ne sont pas des horaires fixes. Tu dois être là quand j’ai besoin de toi, que ca soit minuit ou trois heures du matin, si j’ai besoin de quoi que ce soit, même si ca n’a aucun rapport avec le travail c’est toi et bien évidement la deuxième assistante qui devraient vous en occuper. Une de vous deux dois toujours être au bureau. Quand je dis toujours c’est toujours ! Si je rate un appel important juste parce que vous aviez besoin de faire pipi c’est la porte. Si Tom vous demande quelque chose il faut que ca soit faire dans l’instant est ce que c’est clair ? Et vous serez priée de l’appeler Monsieur Conwel.

Le brun termina son discours et sortit un contrat de travail d’une grosse pochette, il le tendit à la feuille et la demoiselle le signa aussitôt un grand sourire aux lèvres, étrangement travailler pour un tirant rendait heureux par mal de monde.

- Je commence quand ?

- Et bien disons dans deux minutes le temps que vous attachiez votre manteau dans le placard et puis ensuite vous descendrez à la réception pour aller chercher votre passe électronique pour l’entrée et vous en profiter pour ramener les Starbucks que Erika est partie chercher. Allez au boulot.

La jeune femme sourit et partie avec un grand sourire Bill lui était content qu’il ne lui reste plus qu’une fille à trouver. Il se retourna vers Tom en souriant pour avoir son avis.